Nom et prenom : von Eisumdrehung Ludwig Günter Karl Otto Friedrich Eindrich Gerrard Klaus Ülrich
âge : 16
Sexe : Masculin
Description physique : Ciel ! Que vois-je ? L'heure de la description physique ? Et impossible visiblement de se contenter de "petit, mince, cheveux gris, yeux rouges". Bon, ça ressemble à du morse et je suis en train de perdre du temps, certes... Donc, mettons-nous-y.
Ce petit être exaspérant s'il en est, est effectivement petit, mesurant très exactement 1,52 m. Quoi de moins impressionnant ? Il faut presque faire attention de ne pas lui marcher dessus, comme on lui a souvent dit. ( hum hum pas de moquerie ^^) D'autant que l'individu n'est pas gros... Il est même fluet, svelte, ou l'on dira comme on voudra.
Les seules choses pouvant l'aider à se faire remarquer, ce sont ses yeux d'un rouge écarlate , ressortant sur son visage rond et pâle. Il y a aussi le système capillaire : des cheveux gris aux reflets roux-bruns, ces reflets étant surtout visibles en été. En hiver, c'est le genre gris clair reflet argent.
En général, il est vêtu de manière banale
Caractère : Ludwig est d'un caractère anti-héroïque (parce que je hais les petits héros parfaits) et il est donc doté de plusieurs qualité/défaut :
"Ciel ! Un dragon ! Oh mon Dieu ! Je suis bloqué par ce sable mouvant ! LUDWIG ! Occis ce dragon féroce et vient m'aider !" Il est bien optimiste, celui qui dit cela ! Ludwig sera bien le dernier à combler sa requête ! Quand on a pas le choix, d'accord, pourquoi pas faire preuve de bravoure ? Mais, si d’aventure une Sortie de Secours s'offre... Pourquoi s'embêter ? Pourquoi risquer sa peau ?
De la même façon... "Les femmes et les enfants d'abord"... Quelle est cette plaisanterie ? Pas de discrimination positive : Tout le monde en même temps ! Ou mieux : LUDWIG D'ABORD ! Tant pis pour les autres... Et VIVE LUI-MÊME !
Il faut aussi signaler que Ludwig peut montrer aussi bien dire des choses d'une intelligence rare et sortir une imbécillité du plus beau genre...
Têtu comme un âne, il ne change de position que dans la condition où y rester serait nuisible à son intégrité physique...
Ne parlons pas de son intégrité morale, il n'a pas de morale du tout. Atteint d'une mauvaise foi aiguë, il st bien évident qu'il ne se trompe JAMAIS. Toujours il a raison. Et, s'il a tort, il a raison d'avoir tort, sachant que l'autre à tort d'avoir raison : Il est pourtant bien légitime que l'autre ait tort tandis que Ludwig a raison !
Histoire : Un jour, Ludwig naquit, n'ayant sans doute pas grand chose à faire d'autre dans le ventre de sa mère... En sortir étant une erreur qu'il se reprocha durant toute sa courte vie pourtant joyeuse.
Ses parents étaient propriétaires d'un marquisat en Autriche, dans un coin où STOOOP ! Pas de personne euh normale on va dire ( ui ui sa existe). Pas de normal ou que ceux qu'on y invite ! Pourquoi ? Mais parce que mes parent sont un phénomene, et en plus se sont un animal polluant, bête et nuisible, tout le monde sait ça.C'est donc là qu'aurait du vivre Ludwig. "Qu'aurait du" Parce que ses parents y laissèrent der Grosvatter und die Grosmutter pour aller vivre en England. Ludwig parle donc l'anglais et l'allemand, avec l'accent autrichien que son père lui a légué comme héritage avant-posthume.
Durant cette vie, il passa la moitié de son temps à rudoyer les professeurs et instituteurs, jouant au petit débile qui n'y comprend rien. Tant pis pour les mauvaises notes : C'était si drôle de les voir s'arracher les cheveux... Et les rencontres avec Vatti... Tellement agréables ! Le père (Vatti) qui brûlait toujours d'envie de tuer les profs...
Tout de même, Vatti n'était pas très tendre, avait la main leste, et passait son temps à surnommer son fils "Die Mause" (la souris). Die Mause en question étant parfaitement dépourvu du moindre sens de l'humour quand c'était lui le sujet des sarcasmes, il le prenait très mal et d'abord, se mit à détester Vatti et à lui faire des mauvaises blagues jusqu'à ce Vatti lui explique que c'était pour de rire. Enfin, il avait d'abord fallut que le paternel comprenne enfin pourquoi il recevait des regards noirs. Les sales coups continuèrent mais, cette fois, plus pour les gifles que pour les remarques sarcastiques, Ludwig continué toujours ses blague infame, jusqu'au jours au il en avait assez et trouva l'adresse de cette fac et l'envoya en force !